Zia, suite…

Vous savez quand j’ai dit qu’elle avait miaulé toute la nuit? Hmmm. Pas vite, la campagnarde. Ma choupette est en chaleur. Oh boy. Vivement une annulation chez le vété, que la puce soit opérée (sinon ça ira au 14)! Mes hommes dorment, moi… moins. J’ai posé quelques questions, étant ignorante en la matière (et heureuse de l’être…). Eh bien les pauvres chattonnes pas opérées ont des chaleurs aux quinze jours pendant… dix mois sur douze! À la voir aller, de matou en matou (et mes pauvres matous finissent par se pousser d’elle, n’ayant aucune idée de ce qu’elle cherche à obtenir…), le popotin relevé et les miaulements de plus en plus insistants, ça n’a pas l’air facile à vivre, comme pulsion! (Ce n’est pas non plus facile à voir…)

Quand elle n’est pas en train de tenter de faire sa cour, elle est adorable et ronronne au point de faire vibrer les poils blancs sous son menton. Et quand elle ne leur casse pas les oreilles, mes garçons l’aiment bien: Moocah dort près d’elle et Tao lui a déjà lavé la tête! Quant aux matous qui sauraient quoi faire avec une toute petite chatte en manque, ceux qui vivent dehors, j’ai la grande chance de ne pas encore les voir uriner sous nos fenêtres. Question de temps, sans doute…

Note: Hier et avant-hier, gros orages avec foudre et tonnerre un ti-peu trop proche pour mon bonheur. Mes matous ont pas aimé. La petite? N’a pas réagi. Connaître la vie dans le grand méchant dehors, ça aide à mettre les choses en perspective!

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