J’ai de la chance: j’ai réussi à éviter d’entendre la chanson en traduit du parti libéral fédéral. André Racicot en a tiré un billet qui souligne avec justesse qu’il vaut mieux laisser la traduction à… ceux qui connaissent la musique!
Cet incident met en évidence le statut précaire de la traduction au Canada. Il constitue une démonstration éclatante du danger à s’en remettre à des amateurs qui s’improvisent traducteurs.
André Racicot : Au coeur du français
Et vous, parlez-vous traduit?