Impers (ou comment être vu sous la pluie de l’espace)

Voici venir l’automne, que je me suis dit. Je serai trempée sous la pluie froide de novembre, que je me suis dit. Non mais je ne pouvais pas savoir qu’on aurait plutôt de la neige, moi! J’ai dit à l’Homme qu’il fallait prendre les grands moyens! Et vite! Résultat, nous nous sommes procurés des vêtements pour la pluie pour pas cher (erreur: car le pantalon de l’Homme s’est déchiré dès la première enjambée, voilà ce que c’est que de choisir le modèle en super hyper spécial!). J’ai choisi un imper long, question de moins mouiller mes pantalons (être mouillée, je m’en fous, mais avoir froid dès le début d’une promenade de quarante-cinq minutes, très peu pour moi!). Résultat: je peux me déguiser en brigadière en un clin d’oeil (encore faudrait-il me trouver un ti-panneau d’arrêt)! Pour marcher, c’est pas génial, car le truc est rigide (fallait payer plus, campagnarde, tu aurais dû le savoir!). Bon. Leçons apprises, et manteaux quand même pas perdus. (J’ai d’ailleurs compris récemment pourquoi on avait autant de tuques, de manteaux, etc., chez nous quand j’étais petite: il faut composer avec toutes les conditions, et cela même si elles durent plus longtemps que le temps de séchage d’un habit de neige! Et compter avec les visiteurs mal équippés aussi!)

Pour marque-pages : Permaliens.

Les commentaires sont fermés.