En traîneau

Ma fille a un trop chouette traîneau Pelican qui la protège des éléments. Comme elle est toute petite et qu’elle ne s’assoit pas encore toute seule (elle tient sa tête, et très bien même, tant qu’elle n’est pas fatiguée), un coussin est nécessaire pour qu’elle puisse jouir du spectacle (oui bon, le toit de la capote est translucide aussi, mais ça vous dirait, vous, de regarder juste vers le haut, disons par le toit ouvrant, comme passager dans une auto?). Ah mais comme elle est toute petite, le traîneau lui servira longtemps (ouais ben on verra hein!)!

Récemment, l’Homme a sorti le traîneau, emballé sa fille dans son super habit de neige (c’est pratiquement un sac de couchage à capuchon ajustable, dont on peut au besoin séparer les pattes par deux fermetures éclair: l’équivalent d’une mitaine qui se transforme en gant!), et est parti la promener… tandis qu’elle promenait le chien. Ou enfin…!

Résultat? Une longue sieste, interrompue chaque fois que l’Homme s’arrêtait plus de deux minutes. Oh elle ne prononce pas de mots encore, mais vous savez comme moi ce qu’elle voulait signifier: allez, hue, cheval!

Ils ont posé un peu pour moi… et ils sont partis!

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