Chauffage au bois

(Ça, c’est le puits de feu, pas le feu à l’intérieur pour le chauffage: pas de panique!)

Il y a quelque chose de profondément satisfaisant dans le fait d’allumer un feu et de l’entretenir au fil de la journée. Ça n’a jamais été ma responsabilité avant cet hiver, même si je participais au transport du bois de chauffage de la grange à la maison (et que depuis l’été 2020 j’ai cordé et recordé environ 25 cordes de bois, ce que j’aime, vraiment, profondément). J’ai enfumé le sous-sol à quelques reprises (ça vous casse une zénitude!), mais mon processus s’est amélioré et je réussis bien, maintenant. N’empêche que c’est de l’ouvrage, du ramassage des cendres et braises (qu’il faut bien aller porter quelque part, aussi) au recordage près du poêle en passant par le transport et la préparation (ou l’achat) de bois d’allumage. Ah oui, c’est pas mal plus compliqué qu’actionner un bouton de thermostat! Mais pour ma réalité, c’est nécessaire, le bois brûlant même en cas de panne de courant. (Le mazout aussi, vous me direz, mais le problème, c’est que le ventilateur de la chaudière a besoin d’électricité, lui, pour propager l’air chaud à travers la maison.)

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2 réponses à Chauffage au bois

  1. Lyne Lavoie dit :

    Vive le chauffage au bois même si ça demande beaucoup de manipulations! Cette chaleur n’est en rien comparable avec l’électricité ! Et comme on a droit à une panne quasiment tous les mois ,depuis un bout ,c’est précieux!

    • Campagnarde dit :

      Oui, c’est une chaleur vraiment enveloppante, qui réchauffe jusqu’aux os! (Je viens de partir le feu, justement!)

      On a eu de la chance cette année, côté panne: rien! Ah mais je m’étais préparée, aussi, avec plusieurs lampes à piles ou rechargeables (ce qu’on mangerait en cas de panne, ça, je le sais moins… glaçons d’H2O sur lit de neige?).