Courge de compost

Au printemps on a extrait de notre gros tas de compost de très, très nombreuses brouettées de beau compost mûr dans lequel ont abouti mes plants de tomates et qui a servi aux courges, concombres, herbes, etc. À trois, on a fini par retourner ce qui restait de compost pas mûr à côté, pour commencer un deuxième tas. Et l’été a passé… nous réservant de drôles de surprises. Dans le compost retourné, qu’est-ce qui a poussé? De magnifiques plants de courges (indéterminées!)… de cerises de terre et de tomates! D’ailleurs ces plants de tomates sont encore aujourd’hui chargés, et lourdement, de belles tomates encore vertes! Le coin a été choisi pour le compost, vous voyez, pas pour un ensoleillement propice au potager. N’empêche qu’il est à l’abri des vents frais et que ces plants ne semblent pas avoir souffert (sans doute grâce à la chaleur du tas de compost) des nuits fraîches (alors que plusieurs plants de tomate du potager en ont souffert et ont lâché leur tomates molles et gâchées, tandis que d’autres continuent de mûrir!).

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6 réponses à Courge de compost

  1. manon dit :

    Ha ben tient, il a poussé la même chose sur mon tas de compost « de l’hiver dernier »… emplacement plus au soleil que celui habituel.

    J’ai des courges de type spaghetti on dirait, une ressemble au delicata et d’autre à une buttercup.

    un plant de cerise de terre avec des fruit aussi et une jungle de tomate vertes (mais il y a eu déjà 4-5 tomates de ce tas de compost qui sont devenues rouges. Comme quoi parfois c’est correcte de laisser aller la nature.

    • vieux bandit dit :

      Comment ça, parfois? 🙂

      Avec la température actuelle, elles ont de bonnes chances de rougir, les tomates, et sinon, je les récolterai vertes. C’est un genre de… lit de culture surprise! 😉

  2. vieux bandit dit :

    Elle parle mieux et davantage en français, mais elle comprend tout en anglais. Elle nous écoute et nous reparle de notre conversation en mettant des mots français dessus (fille de traductrice, va!). Parfois elle ne veut pas que je lui parle anglais.

    Elle dit cochon-pig, chickadee et no thank you, mais le plus souvent c’est du français qu’elle produit, et avec un vocabulaire impressionnant. L’infirmière voulait savoir si elle disait 50 mots… je suis partie à rire. Elle en utilise au moins 200 (c’est peut-être beaucoup plus), elle fait des phrases complètes (maman je suis fatiguée) et elle commence à utiliser les pronoms comme il faut (ma chambre au lieu de ta chambre, qu’elle entend plus souvent, etc.).

    En fait en parlant de ça mon Homme et moi avons réalisé qu’il parle beaucoup français, même chez nous. Au départ, y a douze ans, on parlait plus anglais; ensuite ça s’est équilibré, et maintenant, vu notre environnement, c’est plus francophone chez nous. Mais la puce a beaucoup de livres en anglais, et ils sont lus. C’est juste que ces temps-ci, elle veut dire ce qu’elle veut dire, qu’on soit en train de lire ou pas, et elle le dit en français surtout.

    • manon dit :

      jamais rien de pareil quand même dans une fraterie!

      ici j’en ai eu 2 qui faisaient pleins de phrases à 2 ans (un peu comme la tienne) et qui devait avoir à peu près ça 200 mots à 2 ans…

      Pis j’en ai eu 2 qui peinaient à dire 50 mots lors de leur anniversaire de 2 ans!

      Sauf que tout s’est rattrapé vite et ils étaient plus forts dans d’autres sphères!

      Les photo de ta puce sont superbes 🙂

      • vieux bandit dit :

        Ouep, tous différents, je sais bien. La mienne a comme seul point faible la taille, et on s’en fiche: elle grandit, ça suffit. Et c’est une chance qu’elle soit qui elle est, pas une source de « heille chu bonne, moi »! 😉

  3. vieux bandit dit :

    Euh… je parle aussi bien anglais que mon Homme anglophone! 😉
    Et elle le parlera quand elle voudra: comme je disais, elle le comprend à merveille.