Comme l’hiver

Je trouve l’idée des mini-maisons vraiment fascinante, avec plein de beau avantages. Mais: l’hiver. Ce matin, un peu de glace et quelques centimètres de neige mouillée, et même quelques gros flocons. Deuz zozos qui sautent de joie et veulent seulement sortir jouer là-dedans. Eh bien c’est là que j’apprécie a) mes amis et nos familles de qui nous avons hérité BEAUCOUP de vêtements de neige et b) ma grande maison (pour aujourd’hui on oublie ses nombreux désavantages, ok?). Fouiller dans nos affaires d’hiver c’est mieux qu’aller à la friperie (plus efficace en tout cas). Ce matin je ne savais pas de quoi avait l’air le deuxième habit de neige de mon fils pour l’année, mais… je l’ai quand même trouvé! (Deux, c’est le minimum; ici, les habits n’ont pas le temps de sécher entre deux récréations, non: on rentre boire un chocolat chaud et on repart, bien souvent, en laissant derrière (et à sa mère…) une flaque et un habit trempé!) Et je sais même de quoi mon gars aura l’air… pour le prochain hiver (3 habits complets l’attendent, hourra!). Alors même si je suis contente chaque fois qu’une caisse ou trois de linge part ailleurs, je sais quand même apprécier les réserves ici accumulées. (Si on voulait une mini-maison, il faudrait l’installer… au milieu de notre entrepôt privé! Je pense pas que ça respecte trop le concept!)

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