Apprentissage de l’hiver

Cet hiver, nous avons appris à faire confiance. À nos poules et à notre coq, oui! (Oui, nous n’avons plus que deux poules et un coq. Pour le coq, c’est le bon nombre, mais il faudra d’autres poulettes pour que tout le monde soit heureux. C’est tout un apprentissage, mais nous y arrivons… Ces trois-là auront deux ans en mai. Et auront des copines avant ça, avec un peu de chance!)

Alors voilà. Malgré bien des lectures qui me disaient que l’ennemi des poules ce n’est pas le froid mais l’humidité (et le vent!), c’est comme si nous n’arrivions pas à le croire, et il a fallu ce deuxième hiver pour les laisser aller dehors de jour. Il a même fallu que je voie de mes yeux les poulettes de nos amis!

Maintenant nous sommes bien convaincus, et les oiseaux sont bien plus heureux. Il a suffi que mon Homme installe un grand morceau de plastique pour mettre la moitié de la volière qui est couverte à l’abri du vent, et les poules sont sorties avec un bonheur évident.

Alors tant qu’il ne fait pas moins vingt et pire (quand il fait très froid, dans le poulailler, la Wyandotte [la noire et blanche] s’installe SOUS Rico [le coq, évidemment] avec des roucoulements de poussin, c’est vraiment charmant et brillant!), nos poules ont quelques heures dehors chaque jour. Elles sont plus belles, elles se sont remis à pondre (de temps en temps) et elles font de jolis bruits de contentement. Parfait!

Leçon apprise! Passons maintenant aux suivantes… 😉

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